Hommage à Jacqueline Du Pré (1945-87), violoncelliste prodige, qui, à 20 ans, était déjà mondialement connue et saluée par des maîtres tels que Menuhin, Tortelier ou Rostropovitch, son ultime professeur. Sir Edward Elgar lui doit la renommée de son concerto op.65 dont elle a gravé une version qui fait toujours autorité. Avec son mari, Daniel Barenboim, en concerto comme en chambre, elle a laissé, entre autres, d’admirables interprétations de Sonates de Beethoven et de Brahms avant que la maladie ne l’éloigne de la scène. Elle jouait sur le Davidov, une basse signée de Stradivarius (1726).
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PRD 250 380
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