Regroupés pour la première fois les trois plus célèbres concertos avec les solistes qui ont fait leur gloire, deux dédicataires et créateurs, mais non Maxime, le fils du compositeur et dédicataire du mal-aimé 2e Concerto op.102. Mis au répertoire anglo-américain par les pianistes-chefs d’orchestre et compositeurs (parfois jazzifiants) que furent André Previn et Leonard Bernstein, c’est ce dernier qui l’imposa aux États-Unis.
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