BRAHMS imposa la forme du sextuor, ayant la douceur, la variété de couleur de l’été comme de l’automne, mais également la puissance et l’éclat d’un orchestre à cordes du fait d’importance des registres graves. Mendelssohn en avait révélé les possibilités des fêtes estivales lumineuses et rêveuses, Brahms l’intensité des amours (Les Amants), puis la nostalgie innée des voix des altos et violoncelles, qui permettent de rester sous le charme des animations et couleurs d’automne. Seuls Reger et Schönberg seront ses héritiers.
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PRD/DSD 250 297
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