Couplage inédit d’œuvres de chambre russes quasi contemporaines, opposant un maître à un de ses anciens élèves admirateur de Tchaïkovski, en fait, les nationalistes à la nouvelle génération cosmopolite. Les deux trios, en mode mineur, s’inscrivent néanmoins dans la splendeur d’un romantisme finissant où le clavier est roi, dans la lignée de Brahms pour l’auteur de Schéhérazade, de Mendelssohn et de la tradition lyrique slave pour Arensky.
PRD/DSD 250 285