Richter n’a joué les deux premiers concertos de Rachmaninov qu’avant sa carrière internationale qui n’a réellement débutée qu’en 1960. Couplage désormais logique et unique de deux lives complété par quatre Préludes qui resteront, eux, ses favoris pendant près d’un demi-siècle. Un programme unique que les techniques les plus récentes tentent ici de reproduire dans leur vérité première.