Juxtaposition des Première et Seconde Grande Sonate pour la pianoforte de 1825, l’une mélancolique, effusion intime qui ne sourira même pas lors de son rondo conclusif, volontariste et menaçant, l’autre, débordant d’une joie bouillonnante proche d’une tyrolienne stylisée, puis ländler raffiné à l’invention émue annonçant Bruckner suivi d’un moderato aussi allégé qu’hors du temps en son innocente et inaltérable gaîté. Un portrait comme seul sait les composer Richter, le peintre.
PRD DSD 350 067