Partitions schubertiennes avec lesquelles Richter a conquis Paris La dernière et immense Sonate en la bémol majeur est longtemps restée à son répertoire, «chassant» les ‘petites’ sonates précédemment favorites. Il en rend la géniale ambigüité, la suite d’exclamations de ce cycle d’impromptus plus que vraie sonate selon Beethoven, même si sa volontariste architecture s’oppose à sa fantaisie instinctive. Richter distille l’irrésistible charme d’un Impromptu isolé avant que, dans la ‘petite’ Sonate en la de 1819, il en respecte la démarche baroque post-mozartienne
PRD DSD 350 063