Cette 8e Symphonie, néo-beethovénienne, était censée décrire l’angoisse et la douleur causées par les atrocités de la guerre. Evguéni Mravinsky, le dédicataire, en reste l’interprète de référence: un concert de 1961, restitué dans sa pureté première, en porte témoignage. En contrepoint, l’idéale extase scriabinienne pour vraiment passer du cauchemar au rêve ?
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PRD/DSD 350 120
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