Richter réussit à élever au même niveau d’invention instrumentale les saynètes d’opéra sans paroles des Tableaux moussorgskiens et des pages restées mal-aimées de Tchaïkovsky. Même si elles ressortent, en 1874-78, de la même influence de Schumann et d’un goût russe immodéré pour le Salonstück, la juxtaposition d’une explosive hallucination vécue avec d’excellents devoirs d’un compositeur sentimental, ne manque pas de sel!
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PRD/DSD 350 076
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