Couplage consacré de trois chefs-d’oeuvre de chambre pour clarinette, deux que Mozart dédia à Anton Stadler, son “frère”
en loge maçonnique,. le fameux “Trio des quilles” – dont l’anecdote veut qu’il ait été écrit pendant le seul temps d’une
partie de quilles –, puis le Quintette, qui tout comme le Concerto K 622 à venir, exploite en particulier son registre grave,
tandis que le larghetto second est, un des plus beaux nocturnes jamais écrits pour cet instrument. Le dernier voit Weber
rend hommage au prodige allemand Joseph Bärman.
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PRD 250 307

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