Partitions achevées avant que l’auteur n’ait vingt trois ans. Ces «musiques du bonheur» où, selon Baillot, l‘on retrouverait le «rire joyeux des lutins» du Songe d’un nuit d’été, dénotent une assimilation étonnamment précoce des conquêtes avant-gardistes d’un Beethoven qui venait juste de disparaître. Schumann affirme même : “C’est le Mozart du 19° siècle, le musicien le plus intelligent, qui perce à jour les contradictions de l’époque avec le plus d’acuité et celui qui est le premier, non sans humour, à les réconcilier».
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