Couplage inusité de deux chefs-d’œuvre superbement travaillés comme toujours chez Brahms. L’ultime Quatuor op.67, à la bucolique et rude «gaîté» paysanne, prémisses à la pastorale Symphonie n° 2 op.73 de 1877. Le Quintette op.34, «est beau au-delà de tout ce qu’on peut en dire. Quiconque ne l’a pas connu sous ses rédactions précédentes…ne pourrait supposer que l’œuvre n’a pas été originellement pensée et conçue pour la présente combinaison d’instruments… un chef-d’œuvre de la musique de chambre comme nous ne pouvons en désigner aucun autre depuis la mort de Schubert .On n’avait rien entendu de pareil depuis l’année 1828” (dixit Hermann Lévi)…celle du Quintette en ut D 956 de Schubert.
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