On doit à Leopold Koželuh, concurrent et successeur de Mozart à la Cour de Vienne, l’ abandon du clavecin au profit du pianoforte, à Dusík(Dussek), l’avènement du piano moderne. Il eut le tort d’avoir raison trop tôt et d’écrire de la musique d’avant-garde que la prééminence progressive de Liszt fit oublier. Il laisse 34 Sonates pour piano et un répertoire quasi inédit pour duo.
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