Demeure à notre oreille le souvenir du toucher de Ivan Klánský, tantôt vital par son intensité, tantôt introspectif et profond, la limpidité cristalline du jeu puissamment expressif de Čeněk Pavlík, enfin celui de Marek Jerie, sachant passant de la tension élégiaque au caractère héroïco-dramatique, la noblesse d’expression propre au violoncelle.
PRD 350 026