Grand admirateur de Jascha Heifetz, Leonid Kogan a proposé une vision à l’élégance souveraine et lumineuse du répertoire de base allant de Bach à Tchaïkovsky. Son jeu donnait une impression de liberté, de légèreté, du fait d’une virtuosité apparemment innée qui donne une particulière évidence à ce programme juxtaposant musique populaire folklorisante d’hier et slavisme subtilement transcendé plus récent.
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PRD 250 373
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