Péché de jeunesse pour l’auteur de Shéhérazade, alors qu’il était officier de marine, sa symphonie use d’une impeccable rhétorique, digne du modèle ‘militaire’ haydnien mais disposant du matériel le plus récent. Stravinsky, son élève, rédige sa copie avec application. Sa démarche est certes plus relâchée mais les ‘da capo’ sont intégralement exécutés. Il n’est que l’essai ad libitum, un scherzo ‘fantastique’, qui déçoit par son peu de rigueur métronomique mais ravit déjà par son innvention. Juxtaposées, pour la première fois depuis un siècle, les pièces à conviction présentées par d’excellents avocats .
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PRD 250 341
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