Tout comme Svjatoslav Richter, David Oistrakh aimait bien se retrouver à Prague qu’il fréquenta dès la première du Festival du Printemps en 1947 à l’invitation de R.Kubelík. Il y revint par sept fois laissant des “lives” d’éternité. Avec sa compatriote d’Odessa, Frida Bauer, il donne un concert intemporel de musique du xxe siècle en tant que rhapsode plus qu’authentique d’une Europe continentale chantant dans ses arbres de terroirs miraculeusement préservés. Aussi pur qu’émouvant.
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PRD 250 320
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