
Ignoré en Occident, victime de l’ostracisme antisémite en ex-URSS, le nom de WEINBERG, le troisième grand compositeur «russe» du XX° siècle, à la suite de Prokofiev et Chostakovitch, semble lentement se dégager de l’ombre de ce dernier, son protecteur et ami. Loin d’en être un épigone, il en est l’héritier spitiruel par son tempérament de symphoniste et par l‘importance de sa musique de chambre. Cette part non alimentaire de son immense catalogue comprend 17 Quatuors, la somme la plus expérimentale avec ses Sonates, celles pour violoncelle, pensées pour Rostropovitch, étant désormais consacrées.
PRD/DSD 250 253
