Juxtaposition inédite du dernier Quatuor de Schubert, le plus énigmatique et le plus original, avec ses deux trios à cordes, tentatives sans lendemain qui préfigurent pourtant le modernisme harmonique des derniers chefs-d’œuvre. Les Pražák, comme dans les deux partitions-sœurs, Rosamunde’ et ‘Jeune Fille et la Mort’ (PRD 250 091), rendent le caractère dramatique de cette trilogie qui annonce, sans césure spirituelle, à la fois l’unité dramatique et l’expressionnisme des partitions-reines de la 2° école de Vienne, celle de Zemlinsky, Berg et Schönberg.
PRD/DSD 250 240