Distantes de plus de quinze ans, ces deux partitions, juxtaposées pour la première fois, illustrent successivement l’inspiration «nordique» quelque peu morose de l’auteur d’Ein deutsches Requiem, puis un sentiment poétique plus intime, enfin une sérénité communicative, ivresse d’une danse «hongroise» dans le Quatuor, d’une sorte de csárdás endiablée à la puissance quasi orchestrale lors de la coda du Quintette.
PRD/DSD 250 236