Schoenberg a rendu pendant plus d’une demi-siècle un véritable culte aux cordes auxquelles il dédia ses plus belles pages non vocales, du Quatuor en ré majeur dans l’ombre de Brahms jusqu’à son ultime Trio. Juxtaposés pour la première fois, deux chefs-d’œuvre ressortant de la même intensité expressionniste, l’un mondialement célèbre, La Nuit transfigurée, dans sa version originale pour sextuor, l’autre son dernier Quatuor, No. 4 Op.37, puissant et original hommage au dernier Beethoven attendait encore sa…transfiguration.
PRD/DSD 250 234

