Le Quatuor PÁRKÁNYI, hier ORLANDO, que Sándor Végh fit travailler à Budapest, a attendu trente ans avant de livrer sa vision de ce sommet de la littérature du xxe siècle, le diptyque central des six Quatuors à cordes de l’auteur du Mandarin merveilleux. Joint, pour mémoire, le dernier Quatuor, également inspiré du terroir, signé d’un hongrois trop oublié, camarade d’enfance de Bartók, l’ethnologue et dramaturge Leo Weiner.
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