Couplage inusité de deux partitions essentielles de l’auteur d’Ein deutsches Requiem, la première, héroïque et rigoureuse, longuement mûrie afin d’atteindre et de dépasser l’héritage des Razoumovsky beethovéniens, l’autre, dialogue chaleureux, intense et fastueux, entre clarinette et cordes sublimant ses derniers rêves, confidences, se concluant sur des échanges intimes entre clarinette et violoncelle, «comme si les instruments étaient amoureux l’un de l’autre».
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