Couplage des deux derniers des six Quatuors à cordes de l’auteur du Mandarin merveilleux, regroupant le 5° Quatuor, le plus parfaitement équilibré entre ses deux musiques nocturnes qu’encadrent trois piliers d’une arche bâtie avec un matériau à la «ruralité» aussi authentique que violente, enfin l’adieu désolé, funèbre, du 6° à la triste (mesto) ritournelle..
PRD/DSD 250225