Couplage inusité de deux chefs-d’œuvre signés d’un jeune adolescent de 14/15 ans, l’un qui fit sa renommée intemporelle, au même titre que la musique de scène pour Le Songe d’une nuit d’été, l’autre resté ignoré, édité à titre posthume, apparaissant aujourd’hui comme un concerto de chambre, un exercice préalable à l’illustration du monde shakespearien.
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