Des six concertos pour violoncelle répertoriés à leur époque, seuls deux ont été authentifiés aujourd’hui, l’un en ut depuis 1961, l’autre en ré en 1953 et font la fortune des violoncellistes, tel Michal Kaňka qui rend à l’un son style virtuose post-baroque, à l’autre son ampleur pré-romantique. En intermède, une symphonie da chiesa insolite dont le sous-titre non usurpé, “Le Philosophe“, ouvre des horizons inattendus de la part d’un Haydn trentenaire.
PRD/DSD 250 209
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