Portrait inhabituel de Stravinsky en un retable de quatre tableaux. Néoclassique même dans la version ultime de Pulcinella, l’épiphanie qui le sortit de
l’ombre sacrificielle du Sacre, il assuma son retour à Bach dans le Concerto pour violon, ici sublimé par David Oistrakh, puis s’amusant, sous sa direction,
à rendre vraiment menteur le joker de son Jeu de cartes, réussissant enfin à démystifier en dix minutes le sérialisme webernien dans ses Mouvements.
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PRD 250 329
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