Six quatuors parfaits, véritable somme d’une inépuisable richesse et d’une écriture polyphonique virtuose... Précis, mais jamais cérébraux, les Kocian permettent enfin à ces chefs-d’œuvre d’accéder à la place qui leur est due dans la littérature pour quatuor du XX° siècle : la première, au côté de Bartók et de Chostakovitch. (Guillaume CONNESSON, DIAPASON D’OR, Septembre 1996)
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