« Mes compliments pour la version clavier, très bien et très soigneusement réalisée », écrivit Haydn le 23 juin 1787 à Artaria, son éditeur à Vienne, en stipulant qu’il désirait signer un nouveau contrat pour cette très rentable version venant immédiatement après les éditions premières pour orchestre et pour quatuor à cordes Il indique même que cette musique, ainsi dépouillée, laisse une impression profonde même aux âmes les plus inexpérimentées. Elle permet aujourd’hui de découvrir la beauté de timbre et la plénitude d’une copie d’un pianoforte de 1806 du facteur viennois Walter et fils.
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